La carrière cinématographique de Frank Lebœuf

On le connaît tous, car il a séduit toute la France lors de la Coupe du Monde 98. Frank Lebœuf, champion du monde 1998, fait désormais partie de la grande famille des footballeurs devenus acteurs. Voulez-vous en savoir plus sur la carrière cinématographique de ce fabuleux joueur ? Suivez-nous dans cet article.

À propos de Frank Lebœuf

Ancien joueur de l’équipe de football de France et vainqueur de la Coupe du Monde de football 98 avec la bande à Zidane, frank lebœuf s’est aujourd’hui, reconverti dans la comédie. Revenons sur la bibliographie du champion du monde et mari de la tendre, charmante et discrète chrislaure Nollet. Né le 22 janvier 1968 à Marseille, de parents originaires de Normandie, frank lobœuf grandit dans le village de Saint-Cyr-sur-Mer, en Provence. Son père, entraîneur de l’équipe de jeunes du village, lui inculque très tôt les notions du football. En 1990, il rejoint le RC Strasbourg après ses débuts professionnels au Stade lavallois, puis le Chelsea FC avec lequel il remporta en 1998, la Coupe d’Europe des vainqueurs de coupe, la Supercoupe de l’UEFA et deux fois la Coupe d’Angleterre (1997 et 2000). Avec 4 buts marqués avec l’équipe de France, il compte une cinquantaine de sélections, gagne la Coupe du monde 98, le Championnat d’Europe des Nations (2000), puis la Coupe des confédérations (2001). On se rappelle tous, de cette finale France-Bresil du 12 juillet 1998, alors qu’il remplaçait Laurent Blanc (ayant écopé d’un carton rouge lors du match contre la Croatie), il a superbement contenu les assauts de Ronaldo, contribuant ainsi à la victoire des Bleus.

Après sa retraite sportive, il devint consultant et commente de façon régulière, les matchs de football à la télévision. M6 l’engage pour commenter, aux côtés de Thierry Roland, les matchs de la Coupe du monde 2006 en Allemagne, puis ceux de l’Euro 2008 en Suisse et Autriche. En 2010, c’est TF1 qui l’engage en tant que consultant pour commenter aux côtés de Christophe Jammot, la Coupe du monde 2010 en Afrique du Sud. Il anime ensuite, entouré de Jean-Luc Arribart et Guillaume Di Gracia, l’émission Tour d’Europe sur la chaîne Eurosport. En 2011, sur NT1, il commente la Coupe du monde des clubs. Il a également été consultant pour la chaîne Neo Sport, avec une audience de 300 millions de téléspectateurs chaque soirée. Il est depuis 2013, consultant sur RMC, puis devient en 2014, consultant dans l’émission Téléfoot.

Frank Lebœuf, sa carrière cinématographique

Alors qu’il prenait sa retraite de footballeur en 2005, Frank Lebœuf, comme à son habitude, a séduit le public français avec sa reconversion dans le monde du cinéma. En effet, il s’envola pour Los Angeles, pour y suivre des cours de comédie au Lee Strasberg Theatre and Film Institute et s’illustre au sein du Hollywood FC, l’équipe de foot qui réunie les personnalités du cinéma. Il côtoya de grands acteurs comme Owen Wilson, Jason Statham, Woody Harrelson et bien d’autres. Il joua alors dans nombre de films, dont :

  •  » Les Yeux dans les bleus « , où il interpréta son propre rôle.
  •  » Scènes de ménages « , où il apparaît dans l’épisode 11 avec le rôle d’un agent de sécurité.
  •  » Commissaire Magellan  » – Saison 1, où il apparaît dans l’épisode 35 avec le rôle de Gabriel Lodet.
  •  » Nos chers voisins « , où il apparaît dans l’épisode 5.
  •  » Alliés « , où il apparaît dans le rôle de Marcel Deville.
  •  » Camping Paradis  » – Saison 7, où il apparaît dans l’épisode 5 avec le rôle de Mattéo Graziani.

C’est dans le film  » Une merveilleuse histoire du temps  » sortie en 2014, qu’il eut pour rôle, celui d’un médecin qui annonce une mauvaise nouvelle diagnostiquant une pneumonie à l’astrophysicien Stephen Hawking. Sa scène qui n’aura durée que quelques secondes, est toutefois cruciale, car apparaissant dans une blouse blanche, crâne chauve, mine désenchantée et yeux de chien battu ; il incarne le rôle du briseur de rêves. Avec cette unique scène qui figura dans la bande-annonce internationale, le film fut nommé, en début d’année 2015, aux Oscars.